Comme tous nos autres assassins avant lui, le voilà, courtoisie de l’oncle Sam, de retour sur le lieu du crime, confiant dans la puissance de l’impunité ambiante. C’est le compte Twitter de @jakejohnston qui l’annonce :
Emmnanuel Constant, c’est le Front pour l’avancement et le progrès haïtien (FRAPH) et ses milliers d’innocents assassinés. C’est aussi celui qui, agent de liaison à Washington #AnbaDiktati, prévient son boss, Frantz Merceron, qu’il faut laisser le navire du bébé dictateur qui va couleur.
Après avoir participé à deux des régimes les plus sanglants de notre histoire de peuple, le voilà qui, après avoir payé sa dette à la société américaine pour ses actes de torture commis en Haïti*, nous est renvoyé en pleine pandémie mondiale pour finir ses vieux jours.
Adieu vat!
* En vrai, c’est la Fraude qui l’aura.
Laisser un commentaire