Apparemment, le Dr Ariel a dû atterrir en catastrophe à Porto Rico après s’être fait refuser l’accès à la terre dominicaine. L’histoire ne dit pas pourquoi mais c’est tout de même curieux qu’un chef d’Etat haïtien ne soit pas autorisé à atterrir en République dominicaine. Même si c’est encore plus curieux qu’il ait pu s’y rendre sans que l’État dominicain n’en ait été préalablement informé pour l’accueillir avec les honneurs présumément dus à son rang.

Du reste, ce n’est pas comme si notre espace aérien était le plus contrôlé du monde. Les gens entrent et sortent d’Haïti comme dans un moulin. Il n’y avait aucune raison d’être si public avec ce voyage. Il aurait pu nous faire la surprise de s’adresser à nous ce soir de la Primature étant. Mais la vraie question est sans doute de savoir à quoi ces humiliations en série sont utiles.

En attendant, le PM est retourné aux États-Unis d’Amérique où il est en transit depuis hier. Comme le veut le proverbe, chaque chien mâle lèche son pénis comme il peut.

3 réponses à « Un déshonneur que chien ne fait pas à cochon sous les avocatiers »

  1. […] Léviathan spontané, n’est jamais simple. Demandez à Ariel Henry à qui le Blan a donné, le Blan a ôté. Un jour, il vous emprunte votre terrain, le lendemain, il confirme que vous êtes un criminel. Que […]

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  2. […] américaine, avant l’ère de Ben Carson, avait tendance à associer aux neurochirurgiens. Or, Henry n’est pas un génie. Même pas du […]

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  3. […] qui après s’être rendu à l’étranger dans le cadre de ses fonctions s’est vu refuser l’entrée en République Dominicaine, puis s’est retrouvé dans un hôtel portoricain sous le regard […]

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