Un cadeau décidément Léger

Au printemps dernier, en pleine dénonciation de népotismes et de corruptions au sein de l’administration publique, nous prenions le temps d’admirer les mots faussement apparentés. « Ce que je vois comme un poison (gift, en suédois) est peut-être un cadeau (gift, en anglais) » écrivais-je alors, ignorant que, pour la Noël, le commissaire Danton Léger me soulagerait de cette complication en programmant la libération de 800 locataires du Pénitencier National, selon une procédure peu claire et ne semblant nécessiter aucunement la présence d’un juge.

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